« Hitchcock Magazine », la collaboration la plus cool dont on
puisse rêver puisque je n’avais même pas la contrainte d'un
texte à illustrer et contrainte n’étant d'ailleurs pas le terme
qui convient puisque la fonction même
d’un illustrateur est de réaliser, à chaque couverture, un
compromis qui se veut heureux entre l’univers du roman et son
propre monde intérieur. Mais, dans le cas de « Hitchcock
Magazine », le choix des nouvelles n’était fixé qu’en dernière
minute et il ne tenait qu’à moi d’inventer chaque mois une
situation dite de « SUSPENS »… |